vendredi 29 mars 2019

Article publié par deux élèves du Collège catholique Franco-Ouest!



Félicitations à Brifgit Crumley et Oksana Dryden dont l'article a récemment été publié dans le magazine

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Cliquez ici pour consulter la page du magazine!
https://curiummag.com/environnement-les-mensonges-caches-de-lemballage/

ENVIRONNEMENT: LES MENSONGES CACHÉS DE L’EMBALLAGE

19 mars 2019 -  
Par Brigit Crumley et Oksana Dryden

Parmi les centaines d’organisations qui contribuent aujourd’hui à la sensibilisation et à l’action contre le réchauffement climatique et la pollution, certaines se distinguent davantage, notamment, une organisation qui a comme but de sensibiliser le public américain et mondial et provoquer un changement chez les citoyens par rapport à la façon dont ils envisagent la pollution. Keep America Beautiful (KAB), l’organisation en question, est parmi les agences militantes écologiques les plus appréciées en Amérique du Nord. Malgré que la mission de KAB ne soit présente qu’aux États-Unis, elle a imposé de grandes influences sur leur voisin du Nord et même à l’échelle mondiale.
Outre l’objectif écologique et vert de KAB, les fondateurs sont de véritables maîtres de crimes contre l’environnement. On y retrouve des compagnies telles que PepsiCoCoca-Cola, les bières Busch (Budweiser) ainsi que la compagnie de cigarettes Marlboro. Êtes-vous surpris de reconnaître tous ces noms? Vous ne devriez pas l’être. Comme l’on peut s’y attendre, Coca-Cola et PepsiCo sont les deux plus grands pollueurs mondiaux au niveau du plastique non recyclé.
De plus, pourquoi une compagnie de cigarettes serait-elle impliquée dans une organisation telle que KAB? Cela mène à la question: que font ces compagnies? Alors qu’il se peut que celles-ci retrouvent une pincée de culpabilité dans leur sang, comment se peut-il qu’on ne retrouve pas une seule cigarette ou bouteille de Pepsi comme pollution dans les publicités de KAB, lorsqu’ils représentent un symbole infâme de la crise à laquelle nous faisons face? Le consensus est que cette organisation n’est qu’un autre coup de génie pour bénéficier à la gourmandise capitaliste.
En effet, auparavant, les bouteilles des breuvages étaient toutes en verre et pouvaient être réutilisées sans cesse. Toutefois, lorsque ces compagnies ont constaté le montant d’argent qu’elles auraient à gagner si elles se disposaient des bouteilles en plastique, elles n’ont pas hésité. Et puis, lorsque la législation contre le plastique est entrée en vigueur, voilà que s’est formé KAB. Exerçant de la pression chez le gouvernement du Vermont pour enlever leur loi contre les bouteilles à utilisation unique, ils se sont orientés vers leur nouveau but: sensibiliser le public.
C’est à ce point-ci où la perspective entière de la pollution a changé mondialement. Non, ce n’était plus auprès des grandes compagnies qu’il fallait ramasser les centaines de milliers de bouteilles qu’elles produisaient. En raison des publicités et des messages que répandait KAB partout autour des États-Unis et qui traversaient également les frontières et océans, la culpabilité pour la pollution a fait un 180 degrés et s’est dirigée directement vers nous. C’est plutôt ironique que les plus grands contributeurs de la pollution plastique influencent maintenant le grand public à le ramasser.
À présent, nous voici à la croisée des chemins. En ce qui concerne l’idéologie, l’organisation KAB a planté une graine qui a changé la façon dont nous percevons la pollution aujourd’hui: elle a des racines obscures provenant des compagnies les plus néfastes pour l’environnement au monde. En contrepartie, cette agence a des initiatives partout à travers les États-Unis pour ramasser le plastique qu’elle a distribué.
Parmi leurs programmes se retrouvent des bourses pour adolescents et des camps d’été. Mais rectifie-t-elle la situation? Enlève-t-elle les 100 milliards de bouteilles estimés par GreenPeace que Coca-Cola a relâchées dans nos océans l’année dernière? Et puis, alors que certains changements sont possiblement réversibles, d’autres ne le sont pas. Lorsque KAB a commencé sa campagne contre la pollution, l’organisation a aussi inauguré le terme «litterbug», employé à ce jour pour dénoncer les citoyens pollueurs. De plus, ce n’est pas tout.
Leur publicité la plus célèbre, «l’indien qui pleure», débute avec un homme des Premières nations qui rame son canot à travers un lac inondé de déchets, ensuite arrivant à une rive, près d’une autoroute remplie de déchets. Il finit sa performance en versant une seule larme, en répétant un des slogans les plus célèbres à ce jour: « les gens commencent la pollution; ils peuvent l’arrêter ».
Cette annonce a effectivement utilisé le respect qu’ont les Premières nations envers l’environnement comme stratégie pour avancer son message. Pour enchaîner, lorsque cette publicité est devenue un grand succès dans les années 1970, personne ne savait que KAB était fondée par les compagnies créant ces déchets et que «l’indien» qui se retrouvait dans la vidéo provenait véritablement de l’Italie.
Après que la vérité est dévoilée, il faut bien se poser des questions. Pourquoi des compagnies célèbres ne modifient-elles pas les matériaux utilisés dans la fabrication de leurs produits afin d’éviter la pollution supplémentaire? La raison est assez commune. C’est le profit et l’argent, bien sûr! Heureusement, plusieurs solutions possibles sont disponibles au moment même.
D’une part, il y a l’option d’utiliser le système de recyclage du Vermont, aux États-Unis, qui date de 1953. L’idée générale était d’utiliser des bouteilles de vitre pour des breuvages ou d’autres nécessités sous forme liquide. Une fois le produit épuisé, la bouteille est retournée à un poste de recyclage afin d’être lavée et réutilisée par la même compagnie. D’autre part, il existe aussi le choix d’adopter le système présent dans les pays scandinaves.
En Norvège, des dépôts écologiques acceptent des contenants, qu’ils soient faits de plastique ou de vitre, en échange de quelques cennes. Cependant, les raisons principales pour lesquelles ces stratégies fonctionnent sont l’argent et le profit. Dans le cas de la Norvège, l’homme le plus riche du pays avoue qu’il recycle ses bouteilles pour les valeurs monétaires et non pour l’environnement. Est-ce alors le problème? Les gens sont-ils trop orientés vers les profits? Oublient-ils le monde qui les entoure?
Vous ne pouvez guère apprécier l’extérieur coloré de multiples compagnies sans connaître les mensonges cachés dans leurs logos. Le réchauffement climatique est un problème mondial, alors nous devons commencer le long chemin de la rédemption tous ensemble. Votre statut en tant que citoyen de la Terre vous rend redevables d’essayer encore et encore.
Par contre, les compagnies qui produisent le plastique doivent faire autant sinon plus d’efforts pour éviter à tout prix que la planète devienne une décharge de nos déchets et de nos regrets. Selon les Nations Unies, nous devons réduire nos émissions de 45% d’ici 2030 pour limiter un réchauffement planétaire de 1,5°C. Vous ne voyez peut-être pas les conséquences de la pollution puisque ce ne sont pas les pays occidentaux qui en souffrent.
Les pays les plus riches sont les plus grands pollueurs, tandis que les pays en voie de développement sont ceux qui subissent les effets désastreux. La prochaine fois que vous achèterez des produits au magasin, pensez aux faits plutôt qu’à l’emballage.

Alerte de santé publique : augmentation du nombre de décès par surdose soupçonnée à Ottawa


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Affiché le mardi mars 26, 2019
Un message de Santé publique Ottawa.
Pour diffusion immédiate : Le 26 mars 2019   14h23 
Ottawa – Le Groupe de travail d’Ottawa sur la prévention des surdoses et l’intervention en la matière (ci-après le « Groupe de travail ») a publié une alerte pour aviser la population de l’augmentation des décès et des blessures qui pourraient être attribués à une surdose à Ottawa. D’après les tests préliminaires, la cocaïne coupée avec du fentanyl aurait possiblement contribué à ces surdoses. Les investigations se poursuivent ainsi que des analyses toxicologiques en laboratoire afin de déterminer la cause de ces surdoses.
Ce que vous devez retenir si vous choisissez de consommer des drogues :
  • Ne consommez jamais seul – Si vous faites une surdose alors que vous êtes seul, personne ne pourra vous aider. Si vous consommez de la drogue avec une autre personne, n’en prenez pas en même temps qu’elle;
  • Ne mélangez pas les drogues – Consommer plusieurs drogues à la fois augmente le risque de surdose;
  • Allez-y lentement – La qualité des drogues illicites est imprévisible. N’importe quelle drogue peut avoir été coupée avec du fentanyl ou du carfentanil;
  • Sachez quand vous arrêter – Votre risque de surdose augmente si vous êtes un nouveau consommateur ou si vous n’avez pas consommé depuis au moins trois jours;
  • Si vous décidez de consommer – Envisagez de vous rendre dans l’un des quatre points de services de consommation supervisée et de traitement à Ottawa.
Ce qui est recommandé si l’un de vos amis ou de vos proches décide de consommer des drogues :
  • Savoir reconnaître les signes d’une surdose et de composer le 9-1-1 – Une surdose constitue toujours une urgence médicale;
  • Avoir de la naloxone sur vous – C’est un médicament qui peut contrer temporairement les effets d’une surdose d’opioïdes;
  • Composer immédiatement le 9-1-1 si vous êtes témoin d’une surdose – Administrez de la naloxone, effectuez la respiration de sauvetage ou des compressions thoraciques, et restez avec la personne.
Le Groupe de travail aimerait aussi rappeler aux résidents les principaux signes d’une surdose d’opioïdes :
  • Respiration lente ou absence de respiration;
  • Lèvres et ongles bleutés;
  • Absence de mouvement;
  • Étouffement possible;
  • Sons de gargouillement ou ronflement;
  • Impossibilité de réveiller la personne;
  • Peau froide et moite;
  • Contraction des pupilles (qui deviennent très petites).
Pour en savoir plus sur le sujet ou sur les traitements et les services de réduction des méfaits, consultez le site ArretOverdoseOttawa.ca.
Les membres du Groupe de travail d’Ottawa sur la prévention des surdoses et l’intervention en la matière sont issus notamment de Santé publique Ottawa, du Service paramédic d’Ottawa, du Service de police d’Ottawa, du Service des incendies, d’OC Transpo, de L’Hôpital d’Ottawa, du Royal, de l’Hôpital Montfort, de l’Hôpital Queensway-Carleton, du Centre hospitalier pour enfants de l’est de l’Ontario, de Rideauwood Addiction and Family Services, du Bureau du coroner régional, de la Coalition des centres de ressources et de santé communautaires d’Ottawa, de la pharmacie Respect, du Réseau d’intégration des services de santé de Champlain, du Centre de détention d’Ottawa-Carleton, de l’Association des pharmaciens d’Ottawa-Carleton, de la Direction de santé publique et du Centre intégré de santé et de services sociaux de l’Outaouais.
Nous vous fournirons de plus amples renseignements à mesure que nous en aurons.
Pour en savoir plus, visitez le site SantePubliqueOttawa.ca ou composez le 613-580-6744 (ATS : 613-580-9656).
Surveillez les dernières nouvelles sur Twitter (@ottawasante) ou suivez Santé publique Ottawa sur Facebook.

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POUR DIFFUSION IMMÉDIATE : le mardi 26 mars 2019, 00 h 00 

La Police d’Ottawa fait enquête sur de possibles surdoses de drogue accidentelles
Ottawa — Au cours des 14 dernières heures, le Service de police d’Ottawa est intervenu à la suite de trois incidents distincts mettant en cause cinq personnes nécessitant des soins médicaux en lien avec de possibles surdoses de drogue accidentelles. Deux des surdoses furent mortelles. 
Même si les incidents font toujours l’objet d’une enquête, la cocaïne et possiblement le fentanyl seraient en cause. 
Le Service de police d’Ottawa tient à rappeler à la population les risques liés à la consommation de drogue, particulièrement les opioïdes. Les résidents de la ville et de ses environs doivent être avertis des dangers potentiels de la consommation de substances illicites, surtout lorsque l’on ignore à quoi elles sont mélangées et quelle peut être leur concentration. 
Lorsque le fentanyl est combiné à d’autres opioïdes, à l’alcool, à des benzodiazépines, ou à des stimulants comme la cocaïne, il accroît le risque d’une surdose accidentelle. 
Le fentanyl illicite est bien plus toxique que d’autres opioïdes pharmaceutiques. Il n’y a pas de manière facile de savoir si du fentanyl est présent dans votre drogue. On ne peut le voir, le sentir, ou le goûter. N’importe quelle drogue peut être coupée (mélangée) avec du fentanyl. Même une quantité très minime peut causer une surdose. 
Pour vous renseigner sur la prévention des surdoses, consultez le www.ArretOverdoseOttawa.ca
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Contact :
Relations avec les médias
Téléphone : 613-236-1222, poste 5366

samedi 23 mars 2019

Soirée conférence gratuite : «L'Optimisation du potentiel humain»



Une soirée conférence gratuite de Dr Amir Georges Sabongui aura lieu le jeudi 28 mars prochain. La conférence, ayant pour titre : L'Optimisation du potentiel humain, débute à 19h. De plus, dès 18h, une Foire de services communautaires sera ouverte à tous pour connaître les services offerts dans la communauté.


vendredi 1 mars 2019







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le vendredi 1er mars 2019


Chers parents, tuteur et tutrices,

Par la présente, je vous avise que le congé autorisé de Mme Mélanie Courtemanche, direction adjointe de 9e à 12e année, sera prolongée pour encore quelques semaines.

Depuis le retour du congé des Fêtes, nous avons pu compter sur le soutien de Mme Susan Lemaître, direction à la retraite. Nous avons beaucoup profité de l’expérience de Mme Lemaître et nous sommes désolés de la voir quitter. Ceci dit, nous sommes heureux de la voir poursuivre d’autres projets de retraite.

Dès ce vendredi 1er mars, nous avons le plaisir d’accueillir Monsieur Réal Charette, direction à la retraite, qui viendra appuyer l’équipe à la direction pour la durée de l’absence de Mme Courtemanche. J’ai eu l’immense plaisir de travailler avec M. Charette lors de mon passage à Samuel-Genest. Je peux vous assurer que M. Charette saura nous appuyer avec son expérience et sa grande sagesse. De plus, il a à coeur le bien-être et la réussite des jeunes. C’est un plaisir pour moi de le retrouver, et je sais qu’il s’intégrera bien à l’équipe.

Nous sommes heureux de pouvoir compter sur lui et le remercions pour sa disponibilité et son engagement.

Si vous avez des questions, je vous invite à me contacter.



Caroline Tessier
Direction du CCFO